"Le fait que nous parlions constamment du Pacte de stabilité et de croissance, et que nous disions qu'il faut le respecter, ce n'est pas du rigorisme allemand, mais c'est une question de confiance (...) La crise de la dette en Europe était par essence une crise de confiance", a-t-elle rappelé à Cologne, lors du congrès fédéral.
Puis elle est revenue sous les applaudissements à son bilan de 9 années à la tête de l'Allemagne:"Après neuf ans de gouvernement, nous pouvons constater que nous avons beaucoup accompli (...) Notre chômage est sous les trois millions de personnes, le chômage des jeunes dans notre pays est le plus faible de l'Union européenne". Il est vrai que le chômage a été divisé par deux durant sa mandature.
Son discours, salué par 10 minutes d'applaudissements, d'ovations et de liesse fait écho au dernier sondage ARD (chaîne publique) de vendredi dernier, dans lequel Angela Merkel recueille 67% d'avis positifs auprès des Allemands.
Les prochaines élections législatives auront lieu en 2017. Alors, Angela, un quatrième mandat ?
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